La contraception, qu’est-ce que c’est ? Ce sont les moyens employés par un homme ou une femme pour éviter une grossesse non désirée. Il en existe plusieurs et forcément un qui vous correspond. Ce dossier a pour vocation de vous présenter les principaux moyens de contraception. Toutefois, si vous avez besoin d’informations supplémentaires, des professionnels de santé ou du planning familial sont là pour conseiller, alors n’hésitez plus !
En matière de contraception, il existe différentes méthodes :
Les méthodes barrières regroupant les préservatifs, les DIU (ex.: stérilet en cuivre), les spermicides, la cape cervicale et le diaphragme ;
Les méthodes hormonales(oestro-progestatives) avec la pilule oestro-progestatives, le patch et l’anneau vaginal ;
Les méthodes hormonales (progestatives) dont la pilule progressive, l’implant et le stérilet hormonale ;
Les injections ;
Les méthodes naturelles dans lesquelles on retrouve l’abstinence, les méthodes de régulation des naissances, le retrait ;
Les méthodes définitives qui sont la vasectomie pour les hommes et la ligature des trompes pour la femme ;
La contraception d’urgence.
A vous de choisir celle qui vous convient au mieux !
Les méthodes barrières
Notre tuto explicatif méthodes barrières :
Le Dispositif Intra Utérin (DIU) ou stérilet en cuivre :
il mesure 3,5 cm de long. Il a la forme de la lettre « T ». Il est en plastique avec un ou plusieurs manchons de cuivre.
Plus la surface de cuivre est grande, plus le DIU est efficace car c’est le cuivre qui est contraceptif : il rend les spermatozoïdes inactifs.
Le DIU est inséré dans l’utérus par un.e médecin, un.e gynécologue ou un.e sage-femme.
Les spermicides :
Ils se présentent sous forme de crème, d’éponge ou d’ovule. Ils ont pour but de détruire les spermatozoïdes. On les place avant la relation sexuelle.
La cape cervicale :
Elle se place au fond du vagin. Elle vient coiffer le col de l’utérus empêchant ainsi le passage des spermatozoïdes. L’utilisation d’un spermicide est vivement recommandée. On la laisse en place au moins 6 h après la dernière éjaculation et pas plus de 72 h après le rapport. Elle est en latex ou en silicone.
Le diaphragme :
C’est une calotte en latex ou en silicone qui couvre le col de l’utérus et bloque l’entrée des spermatozoïdes. Il doit être utilisé avec un spermicide en gel.
Les préservatifs :
Le préservatif masculin :
Le préservatif, le plus connu avec la pilule, reste le seul moyen de protection contre le VIH/Sida et les Infections Sexuellement Transmissibles (IST).
Il a un double avantage c’est qu’il protège aussi des grossesses non désirées.
Vous le trouverez en supermarché, en pharmacie, sur internet où ils sont payants. Toutefois les infirmières scolaires de collège ou de lycée, des CeGIDD (Centre Gratuit d’Information de Dépistage et de Diagnostic), du planning familial ou les associations de lutte contre les IST et les grossesses non désirées, vous en proposent gracieusement. Il y en a de différentes tailles, goût, texture, avec ou sans latex (pour les allergiques), végan…
Comment l’utiliser ?
Tout d’abord vérifiez que l’étui est dans un bon état. Il doit être conservé à l’abri de la chaleur ;
Vérifiez la date de péremption (c’est comme sur les aliments quand la date est dépassée, il ne faut pas s’en servir car il risque de craquer) et assurez-vous qu’il porte bien les normes CE sur l’emballage ;
A chaque nouveau rapport, un nouveau préservatif ;
Ne jamais utiliser 2 préservatifs l’un sur l’autre. Les 2 craqueraient ou glisseraient !
Pour le mettre : ouvrez délicatement le préservatif, il y a une encoche exprès (dentelée) et faites attention à vos ongles ou autres objets coupants (ciseaux, dents par exemple) ;
Le préservatif doit être mis en place dès que le pénis est en érection et avant toute pénétration orale, vaginale ou anale ;
Vérifiez le sens avant de le poser. S’il ne se déroule pas ou mal c’est qu’il n’est pas dans le bon sens. Dans ce cas, changez de préservatif car il y aura forcément du liquide séminal (dans séminal entendez semence) sur le préservatif et donc risque de contamination par des IST et de grossesse;
Pincez le réservoir au sommet pour chasser l’air et pour éviter que le préservatif ne craque ;
Avec votre autre main, déroulez le préservatif jusqu’à la base du pénis en érection ;
Si vous devez ajouter du lubrifiant, n’utilisez que du lubrifiant aqueux, c’est-à-dire à base d’eau, vendu aussi en supermarché, pharmacie… Jamais de gras le latex n’aime pas le gras (pas de beurre, d’huile, de vaseline). Cela rendrait le préservatif perméable et le risque serait bien présent.
Après l’éjaculation et avant la fin de l’érection, retenez le préservatif à la base du pénis pendant le retrait pour éviter toute fuite de sperme.
Faites un nœud et jetez-le à la poubelle sinon vous boucheriez les toilettes.
Notre conseil ? Entraînez-vous avant si vous n’avez jamais mis de préservatif, cela vous évitera de trop stresser le jour J !
Le préservatif féminin :
Tout comme son ami le préservatif masculin, il protège du VIH/Sida, des IST et des grossesses non désirées. Il est, hélas, plus difficile de s’en procurer. Vous le trouverez en pharmacie et sur internet en payant et gratuitement CeGIDD (Centre Gratuit d’Information de Dépistage et de Diagnostic) – Ce sont les ex-CDAG – au planning familial, auprès de certaines infirmières scolaires et toutes associations de lutte contre les IST et les grossesses non désirées.
Voici ces nombreux avantages :
Il peut être utilisé avec tout type de lubrifiant (à base d’eau ou de gras) : aucun problème pour lui.
Il est très solide, aucun retour de préservatif féminin qui aurait craqué.
Il n’impose pas le retrait immédiat après éjaculation.
Aucune allergie car il ne contient pas de latex ;
Il n’est pas sensible au changement de température donc ne requiert pas de stockage particulier comme son ami masculin.
Il favorise la stimulation sexuelle grâce au nitrile qui transmet la chaleur naturelle du corps pour une sensation agréable et grâce à l’anneau extérieur qui touche le clitoris.
Il épouse la paroi vaginale et ne comprime pas le pénis: confort et plaisir sont au rendez-vous !
On peut le mettre plusieurs heures en avance, jusqu’à 8h et avoir plusieurs rapports à condition que ce soit avec le même partenaire. Par contre, il ne faut pas l’utiliser avec un autre préservatif ni un diaphragme.
Comment l’utiliser ?
Tout d’abord vérifiez que l’étui est dans un bon état, qu’il est aux normes CE indiqués sur l’emballage.
Regardez sa date de péremption (c’est comme pour les aliments : quand la date est dépassée, il ne faut pas s’en servir !).
Ce préservatif est en nitrile (donc il convient parfaitement aux personnes allergiques au latex).
Déchirez le coin de l’emballage pour l’ouvrir. Évitez de l’ouvrir avec des objets coupants pour ne pas l’endommager.
Il possède 2 anneaux : un interne et un externe ;
Se mettre dans une position confortable (allongée sur le lit ou debout, le pied sur une chaise).
Pincer l’anneau interne au milieu (faire comme un 8) pour l’enfiler.
Introduire l’anneau dans le vagin.
Ensuite mettez votre index dans le préservatif pour pousser l’anneau interne le plus loin possible (si vous sentez qu’il vous gêne, c’est qu’il est mal mis un comme parfois le tampon) si c’est le cas, retirez leet recommencez.
L’anneau externe reste à l’extérieur et recouvre entièrement la vulve.
Lors de la pénétration, guider le pénis de votre partenaire à l’intérieur du préservatif afin que le pénis n’entre pas entre le préservatif et le côté du vagin ;
Après l’éjaculation, le partenaire peut continuer de vous câliner car avec ce préservatif aucun risque de fuite ou de glissement puisque ce préservatif est dans le vagin ;
Pour retirer ce préservatif, tournez l’anneau externe afin de le décoller des parois vaginales et aussi de le fermer pour que le sperme ne s’échappe pas ;
Tirez doucement, le remettre dans son emballage et le jeter à la poubelle surtout pas dans les toilettes.
Notre conseil : entraînez-vous avant si vous n’avez jamais mis de préservatif, cela vous évitera de trop stresser le jour J !
Les méthodes hormonales
Les méthodes hormonales oestro-progestatives.
Elles permettent un cycle régulier donc des règles prévisibles.
Les pilules oestro-progestatives :
Ce sont les plus prescrites en France. Elles contiennent un progestatif et un œstrogène. Dans ces pilules, il y a des dosages d’hormones différents. C’est pour cela qu’il faut voir un médecin, gynécologue ou sage-femme, car seul l’entretien préalable pourra permettre de prescrire celle qui vous convient le mieux.
Comment sait-on que le dosage est différent : la couleur
Monophasique : les 21 comprimés sont de la même couleur ;
Bi-phasique : 2 couleurs : les 7 premiers comprimés sont d’une couleur et les 14 autres d’une autre couleur ;
Tri-phasique : 3 couleurs : chaque rangée de 7 comprimés a une couleur différentes.
La plupart des pilules combinées sont présentées en plaquettes de 21 comprimés. On prend sa pilule, tous les jours à heure fixe, pendant 21 jours et on arrête 7 jours pour « avoir ses règles ». En cas d’oubli de pilule supérieur à 12 h, on n’est plus protégé. Il existe par ailleurs des plaquettes de 28 comprimés (24 comprimés actifs + 4 comprimés placebo ou 21 comprimés actifs + 7 comprimés placebo).
Elles agissent par 3 mécanismes :
Elles bloquent l’ovulation ;
Elles rendent la glaire cervicale hostile aux spermatozoïdes ;
Elles empêchent l’implantation dans l’utérus.
Petit moyen mémo technique : lorsque qu’une plaquette a été commencée un lundi, toutes les plaquettes commenceront un lundi et se termineront un dimanche. Si c’est un mardi, la plaquette se terminera un lundi etc…
Le patch :
C’est un timbre qui se colle sur la peau et qui contient une association similaire à celle d’une pilule combinée. Les deux hormones pénètrent dans le sang à travers la peau.
On colle un patch une fois par semaine durant trois semaines sur quatre. Il doit être appliqué sur le ventre, les épaules ou au bas du dos (jamais près d’un sein). La quatrième semaine, il ne faut pas en mettre. Des saignements apparaissent. Ils sont vendus par boite de 3 (il s’agit d’une contraception pour quatre semaines).
L’anneau vaginal :
C’est un anneau flexible en plastique poreux qui contient les hormones ;
On l’insère au fond du vagin et à la chaleur du corps, les hormones diffusent à travers la paroi vaginale et passent dans le sang ;
L’anneau est efficace pendant trois semaines. On l’insère au fond du vagin, comme si c’était un tampon et on le garde pendant trois semaines. On le retire l’anneau lors de la 4ème semaine et les « règles » arriveront.
Il est tout aussi efficace que la pilule combinée ou le patch.
Les méthodes hormonales (progestatives)
Les pilules progestatives :
Elles ne contiennent qu’une seule hormone : le progestatif en faible quantité. Certaines utilisatrices n’ont pas de règles avec ces pilules.
Elles se présentent en plaquettes de 28 comprimés. Tous les comprimés sont dosés en hormones. Ils sont donc tous actifs et ont la même couleur. Ces comprimés se prennent tous les jours sans interruption. Il se peut qu’il n’y ait pas de règles lorsque l’on prend une pilule progestative. Cela est normal.
Lorsque l’on commence la pilule pour la 1ère fois, on la prend le 1er jour des règles :
Si c’est une combinée, on est protégé dès le 1er comprimé ;
Si c’est une progestative, on est protégé dès le 7ème comprimé. Il faudra donc utiliser un préservatif pendant cette période.
Si on ne commence pas sa pilule pour la 1ère fois le 1er jour des règles, on fait ce qu’on l’on appelle un quick start. Dans ce cas, la contraception sera efficace à partir du 7ème jour.
Un test de grossesse devra être effectué avant de débuter la pilule et il faudra utiliser un préservatif. Cette méthode se fait généralement avec avis médical.
L’implant :
C’est un petit bâtonnet cylindrique, en plastique, de 4 cm de long et 2 mm de diamètre (la taille d’une allumette). C’est un réservoir contenant le même type de substance que les pilules progestatives. Une fois l’implant en place, l’hormone qu’il contient diffuse directement dans le sang et supprime l’ovulation (comme le font les pilules contraceptives).
Le Dispositif Intra Utérin ou stérilet :
Le DIU hormonal contient une hormone progestative (lévonorgestrel) délivrée en petite quantité pendant cinq ans. Cette hormone a plusieurs effets :
un effet contraceptif : elle épaissit les sécrétions du col (« entrée » de l’utérus) et les rend infranchissables par les spermatozoïdes ;
un effet thérapeutique : le DIU hormonal diminue la durée et le volume des règles ainsi que les contractions douloureuses qui les accompagnent ; certaines utilisatrices n’ont d’ailleurs pas de règles pendant 5 ans, ce qui est sans danger pour la santé ou la fertilité.
Les injections
Un progestatif de synthèse est injecté par piqûre intramusculaire tous les trois mois. Pendant 12 semaines, le produit assure une contraception constante. Les injections doivent être faites à intervalles réguliers par un.e médecin ou un.e infirmièr.e.
Ce type de contraception n’est pas recommandé :
Chez les adolescentes et les adultes jeunes (en période de constitution du capital osseux), car il diminue la densité minérale osseuse ;
Chez les femmes présentant des facteurs de risque d’ostéoporose (par exemple, consommation chronique d’alcool et/ou de tabac, antécédent de fracture ostéoporotique chez la mère, traitement au long cours par des corticoïdes de synthèse…).
Les méthodes naturelles
L’abstinence :
Pratiquée par les hommes et les femmes (efficace à 100 %)
Plutôt utilisée en régulation des naissances :
La méthode de température : elle renseigne la femme sur sa période féconde mais à posteriori ;
La méthode Ogino : dite du calendrier. Il fût le premier à constater que les règles surviennent 2 semaines après l’ovulation ;
La méthode Billings : elle consiste à surveiller la glaire cervicale.
Le retrait ou coït interrompu :
L’homme retire son pénis juste avant l’éjaculation pour qu’elle ait lieu hors du vagin. Cependant le risque de grossesse perdure à cause du liquide séminal…
Les définitives
Depuis la loi du 4/07/ 2001, la stérilisation à visée contraceptive est possible.
Il faut être majeur. Il n’y a pas de condition ni d’enfant ni de statut. Un délai de réflexion de 4 mois après la première consultation doit être respecté puis il faut une confirmation écrite. Ces méthodes sont irréversibles.
La vasectomie :
Elle consiste à bloquer le passage vers le pénis des spermatozoïdes qui sont produits par les testicules en accédant aux canaux déférents. Soit on coupe, soit on obture les canaux ainsi le sperme perd son pouvoir fécondant. C’est ce qu’on appelle une azoospermie.
La ligature des trompes :
Elle a lieu par une technique provoquant une occlusion immédiate soit en ligaturant les trompes, en les électro-coagulant soit en les pinçant avec un anneau ou un clip.
Oups un oubli ? Pas de panique !
Il ne s’agit pas à proprement parlé d’un mode de contraception usuel mais à prendre en cas d’oubli ou de prise de risque (préservatif craqué par exemple).
Conduite à tenir en cas d’oubli(s) :
Prendre le comprimé oublié et continuer la plaquette comme prévu ;
Protéger les rapports suivants pendant 7 jours avec un préservatif.
Quand utiliser la contraception d’urgence :
En cas d’oubli supérieur à 3 h et si on a eu des rapports sexuels dans les 5 jours précédents l’oubli ;
Elle doit être utilisée le plus rapidement possible et jusqu’à 72 heures après le risque pour la norlévo et 120 heures pour Ellaone.
Sous patch contraceptif :
Situations à risque :
Oubli du 1er patch d’une série de 3 patchs (c’est-à-dire quand on commence un nouveau cycle de 4 semaines) ;
Décollement du patch supérieur à 24 h ;
1er ou 2ème patch non renouvelé (au bout de + 9jours au lieu de 7 jours).
Conduite à tenir en cas d’oubli(s) :
Décollement de patch inférieur à 24 h : recoller le patch ;
Décollement de patch supérieur à 24 h ou de durée inconnue, oubli de reprise d’un nouveau cycle, oubli de changement du 1er ou du 2ème patch supérieur à 2 jours : démarrer un cycle de 4 semaines et protéger les rapports suivants avec un préservatif pendant 7 jours ;
Oubli de changement du 1er ou du 2ème patch inférieur à 2 jours : si le patch a été correctement utilisé les 7 jours précédents, mettre le patch suivant et le changer à la date habituelle.
Quand utiliser la contraception d’urgence :
En cas de décollement de patch supérieur à 24 h ;
En cas d’oubli de reprise d’un nouveau cycle ;
En cas d’oubli de changement du 1er ou 2ème patch supérieur à 2 jours ;
Et si rapport sexuel dans les 5 jours avant l’oubli.
Sous Anneau vaginal :
Situations à risque :
Anneau mal placé ou expulsé ;
Absence de reprise après la semaine d’arrêt ;
Anneau en place plus de 4 semaines consécutives.
Conduite à tenir en cas d’oubli(s) :
Expulsion de l’anneau inférieur à 3 h : après avoir lavé l’anneau à l’eau froide ou tiède, le remettre en place immédiatement ;
Oubli de reprise d’un nouveau cycle, anneau en place depuis plus de 4 semaines : faire un test de grossesse, retirer l’anneau mis en place, démarrer un nouveau cycle et protéger les rapports sexuels avec un préservatif pendant les 7 jours qui suivent.
Quand utiliser la contraception d’urgence :
En cas d’expulsion de plus de 3 h ;
En cas d’oubli de reprise d’un nouveau cycle ;
En cas d’anneau en place depuis plus de 4 h.
Sous préservatif masculin :
Situations à risque :
Rupture du préservatif ;
Glissement du préservatif ;
Utilisation inadapté du préservatif (lubrifiants gras sur le latex, préservatif non mis en place dès l’érection) ;
Oubli du préservatif.
Quand utiliser la contraception d’urgence :
Après un rapport sexuel non ou mal protégé si le préservatif est la seule méthode de contraception utilisée ;
Le plus tôt possible et dans les 3 (Norlévo) à 5 jours (ellaone ou DIU) suivants la relation non ou mal protégée.
Sous préservatif féminin :
Situations à risque :
Rupture du préservatif ;
Utilisation inadapté du préservatif (préservatif non mis en place dès l’érection) ;
Oubli du préservatif.
Quand utiliser la contraception d’urgence :
Après un rapport sexuel non ou mal protégé si le préservatif est la seule méthode de contraception utilisée ;
Le plus tôt possible et dans les 3 (Norlévo) à 5 jours (ellaone ou DIU) suivants la relation non ou mal protégée.