Les violences faites aux femmes sont multiples, sociétales et très prégnantes dans notre culture. Souvent minimisées, banalisées, elles sont pourtant un fléau en termes de santé publique avec un impact psychologique et physiologique sur les femmes elles-mêmes mais aussi sur leurs enfants. « Les violences faites aux femmes n’épargnent aucun milieu social ou culturel… Elles tuent (première cause de mortalité et d’invalidité chez les femmes de 16 à 44 ans) et exposent les enfants à des risques physiques, affectifs et moraux. N’acceptons plus l’inacceptable… ». Mobilisons-nous pour que la honte change de camps !