Depuis le début de l’épidémie et l’annonce du confinement le 16 Mars dernier par le Président de la République, la Mutualité Française, 1er réseau sanitaire et social à but non lucratif de France, a renouvelé ses engagements mutualistes auprès de ses établissements et de ses employé.e.s. Voici les premières mesures concrètes prises par la Mutualité Française.
Les engagements concrets
Depuis le début de l’épidémie et l’annonce du confinement le 16 Mars dernier par le Président de la République, la Mutualité Française, 1er réseau sanitaire et social à but non lucratif de France, a renouvelé ses engagements mutualistes auprès de ses établissements et de ses employé.e.s. Voici les premières mesures concrètes prises par la Mutualité Française.
1.Au niveau national, la Mutualité s’est organisée avec les différents hôpitaux mutualistes pour déprogrammer les patients non urgents afin d’accueillir les patients atteints du coronavirus des hôpitaux de 1ère ligne.
2. La Mutualité mobilise ses centres dentaires et polyvalents pour la prise en charge des soins pour les cas urgents en lien avec les conseils de l’ordre et le suivi en ligne des patients.
3.Les crèches mutualistes accueillent les enfants des personnels soignants dans plus d’une vingtaine de structures.
4. La Mutualité maintient les services à domicile pour les personnes les plus fragiles.
5.La Mutualité est engagée auprès de ses 221 EPHAD mutualistes pour protéger les résident.e.s, leur assurer les soins indispensables, notamment grâce aux téléconsultations largement utilisées dans ses établissements, mais aussi leur assurer un contact sécurisé avec leurs proches, informer les familles et répondre à leurs questions.
La Mutualité Française reste particulièrement vigilante à ce que tous les salarié.e.s qui poursuivent leurs activités puissent le faire dans le respect des consignes de sécurité et de prévention. Enfin, Thierry Baudet, Président national de la Mutualité Française a également saisi le Gouvernement sur des points de protection sociale tels que :
– la prolongation automatique des droits des bénéficiaires de l’aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS) pour éviter toute rupture de couverture.
– la continuité des droits aux prestations santé pour les personnes en chômage partiel.
– la réduction des délais du versement des indemnités journalières pour les personnes nécessitant un arrêt de travail.